En toute vraisemblance, le Burkina Faso n’est pas encore sorti de l’auberge. Les fils égarés du Burkina Faso aux desseins morbides refont surface avec des plans de déstabilisation visiblement huilés.
Cette fois, c’est le ténébreux lieutenant-colonel Zoungrana qui a été choisi pour porter cette responsabilité à cause de sa nature psychopathique avec l’appui de certains juges véreux et corrompus à l’extrême. Ainsi, pour mettre en exécution ce plan de déstabilisation, le sulfureux Colonel a été libéré à la surprise générale des Burkinabè. Inutile de revenir sur le montant que les gens ont empoché pour donner quitus à ce que le malheur frappe leur propre pays. Et selon les sources bien renseignées, le projet de déstabilisation serait l’œuvre des fugitifs Burkinabè qui ont trouvé une terre d’accueil en Côte d’Ivoire. Ce qui est grave dans cette affaire, c’est la sortie du journal Jeune Afrique qui minimise les faits pour tromper la vigilance de tout le monde. On sait comment les médias propagandistes occidentales font le traitement des informations lorsqu’un projet de déstabilisation est gestation.
D’après les brides d’informations en provenance des sources dignes de foi, un proche du Colonel Zoungrana l’aurait fait l’objet d’arrestation et lors de son interrogation, les noms de certains juges ont été mentionnés en plus de ceux de certains hommes politiques.
Le comble dans cette affaire, c’est que le quartier général de tous ces plans funestes se trouve à Abidjan, qui visiblement depuis un moment s’illustre en un hub des fugitifs des pays de la sous-région ouest africaine. Sur ce, les autorités Burkinabè mènent des investigations approfondies pour connaitre les tenants et les aboutissants de cette énième tentative de déstabilisation.
Étant donné que ce n’est pas la première que les noms des fugitifs Burkinabès qui squattent actuellement dans les hôtels huppés d’Abidjan sont cités dans les projets de déstabilisation de leur pays d’origine, ne serait-il bienséant que les autorités Ivoiriennes fassent une sortie officielle pour dissiper tous soupçons de leur éventuelle implication ?
Affaire à suivre.
Amen K.