À l’occasion de la 78e Assemblée mondiale de la Santé, le Burkina Faso, fidèle à sa devise de « pays des Hommes intègres », a réaffirmé son engagement pour un système de santé plus juste, plus accessible et plus résilient. Sous la conduite ferme et visionnaire du Président du Faso, le Capitaine Ibrahim Traoré, le pays met en œuvre des réformes de grande envergure dans le domaine de la santé, malgré un contexte sécuritaire et humanitaire particulièrement exigeant.
En allouant 12 % du budget national au ministère de la Santé, le Burkina Faso démontre une volonté politique rare. Cette décision stratégique reflète la priorité donnée à la santé publique dans les efforts de reconstruction de l’État. Cette dynamique permet la construction de nouveaux centres de santé, la réouverture de plus de 58 % des formations sanitaires précédemment fermées à cause du terrorisme, et l’amélioration notable de la couverture médicale dans les zones reculées.
Par ailleurs, le renforcement de la gratuité des soins pour les femmes et les enfants constitue une avancée majeure dans la réduction des inégalités en matière d’accès aux soins. Le déploiement de cliniques mobiles, offrant gratuitement le dépistage des cancers féminins en milieu rural, incarne la concrétisation d’un engagement de terrain, humain et inclusif.
Autre mesure phare : la baisse significative des coûts des examens médicaux lourds (scanner, IRM) et des médicaments essentiels génériques, qui améliore sensiblement le pouvoir d’achat des ménages tout en favorisant un recours plus large aux services de santé.
La vision stratégique du Capitaine Ibrahim Traoré ne s’arrête pas aux mesures d’urgence. Elle s’inscrit dans une perspective de souveraineté sanitaire, à travers le soutien à la production locale de médicaments et la valorisation de la médecine traditionnelle. À cela s’ajoute le lancement de projets structurants, tels que la transformation des centres de santé en centres médicaux, le renforcement des services de réanimation, et la création prochaine d’un Institut du cœur via l’Initiative présidentielle pour la Santé.
Le Burkina Faso affirme ainsi sa détermination à participer activement à un multilatéralisme sanitaire basé sur les objectifs communs de santé mondiale.