Il y a quelques semaines, le gouvernement burkinabè a pris la décision de rendre obligatoire le port du casque pour toutes les personnes circulant à moto. Cette mesure, d’une importance capitale, vise principalement à réduire les risques d’accidents graves, qui sont malheureusement fréquents et souvent fatals sur les routes.
Pour accompagner cette initiative, une période de sensibilisation a été instaurée, suivie d’une phase de sanctions qui débutera dès janvier 2025 pour ceux qui ne respecteront pas cette réglementation. Cette décision s’inscrit dans une dynamique de sécurité routière et de prévention des risques, et il est primordial que chaque citoyen comprenne l’urgence de cette mesure.
Le casque ne doit plus être perçu comme un simple accessoire, mais comme un équipement de protection essentiel, non seulement pour se préserver, mais aussi pour protéger les autres usagers de la route.
À partir de janvier 2025, toute personne ne respectant pas cette règle s’expose à des sanctions, rendant ainsi cette norme incontournable.
Dans ce contexte, il convient de saluer cette initiative des autorités burkinabè, qui s’engagent fermement pour la sécurité de la population. Une telle décision démontre une volonté claire de réduire les tragédies sur les routes et d’instaurer une culture de la sécurité.
Il est important que le peuple burkinabè s’approprie cette mesure, qu’il l’accepte pleinement et qu’il prenne les devants pour se protéger et protéger les autres. Le port du casque est désormais une obligation, un geste de responsabilité collective qui s’inscrit dans un objectif commun de sécurité et de bien-être pour tous.
Mamadou Cissé
