Regroupée au sein d’une cabale mortifère appelée Coalition de l’Afrique francophone pour la Cour Pénale Internationale, la France et ses sbires sont toujours derrière le peuple burkinabé tel un félin derrière sa proie.
Depuis que le Human Rights Watch a fait sortir ces incongruités sur le Burkina Faso, tous les valets des puissances occidentales ont refait surface, avec pour mission de salir l’image du Burkina Faso, en commençant par des propositions calomnieux à l’endroit du gouvernement de la transition.
C’est quand même curieux de voir une prétendue Coalition de l’Afrique francophone pour la Cour Pénale Internationale faire une demande d’ouverture d’enquête au Burkina Faso parce que les Forces de Dépense et de Sécurité (FDS) et les Volontaires pour la Défense de la Patrie (VDP) aurait commis des actes qui vont l’encontre des droits humains.
Depuis que l’Afrique connaisse des guerres par procuration, qui ont vu des centaines de milliers de vies humaines fauchées, la CPI a fait quoi des vrais criminels ? En dehors de quelques affamés qui sont en prison, à qui les armes ont été remises pour commettre des forfaitures sans comprendre grand-chose des enjeux avec promesse de leur garnatir le ratio journalier, les vrais criminels de guerre sont dans les pays occidentaux avec des comptes bancaires remplis du butin de leurs crimes.
En toute circonstance, si enquête, il doit y avoir, cela doit commencer par cet attroupement des vendus qui se prétendent « Coalition » de ne sait quoi et leurs sponsors.
Si aujourd’hui ce réseau mafieux n’a pas jugé bon d’interpeler la communauté internationale sur les voies et moyens par lesquels les terroristes sont approvisionnés en arme, et qui sont leurs répondants directs dans le Sahel; et que ce sont ceux qui combattent ces les terroristes (FDS et VDP) qui sont incriminés de barbarie, il revient à l’opinion africaine de tirer sa conclusion.
