Malgré les lourds défis sécuritaires à l’Est, la République démocratique du Congo affiche une résilience économique saluée par le Fonds monétaire international (FMI). Le pays a enregistré une croissance robuste de 6,5 % en 2024, avec une projection dépassant les 5 % en 2025. Un signal fort, qui témoigne de la solidité de la gouvernance économique sous la présidence de Félix Tshisekedi.
Cette performance, dans un contexte aussi troublé, illustre le dynamisme du secteur minier congolais mais surtout, la volonté politique ferme d’engager des réformes profondes. Depuis son arrivée au pouvoir, le président Tshisekedi s’est attaqué aux racines structurelles du sous-développement en plaçant la transparence, la lutte contre la corruption et la mobilisation des ressources internes au cœur de son action.
Le FMI reconnaît non seulement la solidité de la croissance congolaise, mais salue également l’accord de principe sur la première revue de la Facilité élargie de crédit (FEC), preuve de la confiance des institutions financières internationales envers la vision économique actuelle. Ce partenariat stratégique, réajusté pour tenir compte des pressions budgétaires induites par le conflit dans l’Est, vise à renforcer la résilience budgétaire et la durabilité économique du pays.
Alors que les dépenses de sécurité pèsent lourdement sur le budget de l’État, le chef de l’État, fidèle à sa politique de responsabilité, est appelé à accentuer la rationalisation des dépenses non prioritaires et à accélérer les réformes en matière de gouvernance. Ces efforts, préparent la RDC à une transformation structurelle durable.
Le président congolais, Félix Tshisekedi confirme ainsi, par des résultats tangibles, son engagement à redresser l’économie congolaise, tout en protégeant les fondements de la nation.
