La brouille entre Cotonou et Niamey devient de plus en plus inquiétante, au point où beaucoup de personnes s’interrogent sur la possibilité une troisième entité qui serait tapie dans l’ombre pour tirer sur les ficelles pour que la situation redevienne plus chaotique plus que ça l’est déjà.
C’est le cas des organisations de la société civile nigérienne qui se sont rencontrent en une réunion de prise de parole commune au sujet des tensions avec le Bénin voisin et leur pays, le Niger. Il ressort de cette rencontre que tous ces mélimélos font partie du plan machiavélique de l’impérialisme occidental. La France et ses vassaux de Chef d’État ne sont jamais à court d’idées pour créer la zizanie partout où un plan de développement est amorcé.
C’est secret de polichinelle que l’arrestation des cinq ingénieurs Nigériens est un plan élaboré depuis Paris et mis en exécution à Cotonou. l’avènement du 26 juillet 2023 avec l’arrivée du CNSP au pouvoir, la France a perdu tous les moyens de pression sur le Niger avec la chute du pouvoir de Bazoum qui a transformé le Niger en une sous-préfecture de France. Et depuis la France cherche à payer aux autorités nigériennes l’humiliation qu’elle a subi dans la minière ces troupes militaires ont été chassés.
Les organisations de la société civile dénoncent ce plan de sabotage orchestré par la France pour assouvir ses désirs démoniaques de vengeance en arrêtant le chargement du pétrole nigérien depuis Sèmé-Kodji. Elles exigent des libérations immédiates et sans conditions de leurs compatriotes arrêtés. Les signataires annoncent également la mise en place dans les quartiers de comités de vigilance et de riposte.
Si la situation ne connait toujours pas un dénouement, il est prévu le vendredi 21 juin l’organisation d’une manifestation de soutien au CNSP sur l’ensemble du territoire pour montrer à la communauté internationale la détermination du peuple Nigérien à prendre son destin en main en dépit des crocs-en-jambe venus de part et d’autre.